Le transport maritime qui représente à lui seul 7% de la consommation mondiale de pétrole est tout particulièrement concerné par la réduction des émissions polluantes et à effet de serre et ce d’autant plus que les carburants utilisés à ce jour sont très polluants notamment en raison de leur teneur en dioxyde de soufre (SOX).
Face à cet enjeu les acteurs internationaux du transport Maritime Conventionnel se sont engagés à réduire les émissions CO2 du secteur de 50% à l’horizon 2050.
Plus immédiatement, ils doivent satisfaire, depuis le 1er janvier 2020, à une réduction de la teneur en soufre dans les carburants qui est passée de 3.5% à 0.5%. Avec cette nouvelle norme, ainsi que l’implémentation des dispositions de l’EEDI et du CII, conjuguées à l’augmentation des prix du pétrole, les armateurs font face à une augmentation exceptionnelle de leur budget carburant.
Quant aux solutions d’adaptation des navires (gigantisme, slow steaming, scrubbers, GNL, …) elles sont coûteuses, restent limitées et engendrent, pour certaines, de nouvelles formes de pollution.
Dans ce contexte la solution retenue par NEOLINE de recourir à la propulsion éolienne, fondée sur l’exploitation d’une énergie inépuisable et propre, prend tout son sens.